UNE SOIREE CHEZ MA MAITRESSE

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il y a 4 ans

Les confessions érotiques que Davina une soubrette servant de jouet dans une soirée BDSM entre filles

Comme ma maîtresse me l'avait demandé, j'arrivais à 17h chez elle. Elle habite un bel appartement douillet non loin de Paris.

Après lui avoir baisé les pieds je me déshabillais, ne gardant que les bas le porte-jartelles et le string que cachait mon pantalon. Je revêtis la tenue de soubrette noire et les mules qu'elle me présentait. Prête j'attendais ses instructions...

« Ce soir je reçois des amies. Tu vas préparer des canapés avec ce qu'il y a dans le frigo et tu passeras l'aspirateur. »

Je répondis par un « bien Madame » docile, et m'attelais à la tâche. A 19h la maison était propre et trois grands plateaux pleins de canapés étaient prêts à être servis.

Ma maîtresse me fit venir dans sa chambre où elle s'était réfugiée depuis un moment.

Sublime comme à son habitude, elle avait revêtu une tenue noire, stricte, bcbg et sensuelle. Elle me fit passer une tenue de soubrette de gala avec des ouvertures au niveau des tétons. J'enfilais les chaussures compensées à talons très hauts qu'elle me présentait. Elle me fixa aux poignets de bracelets de cuire munis d'anneaux et mon cou fut entouré d'un collier assorti. Deux pinces reliées par une fine chaîne vinrent bientôt se fixer sur mes tétons si sensibles.

Elle me fit mettre à genoux devant elle. Mes mains furent jointes et accrochées au niveau de ma nuque grâce aux bracelets et au collier. Elle me banda les yeux avec un foulard noir. Enfin ma bouche fut bâillonnée par une étoffe profondément enfoncée mais assez importante pour m'obliger à garder la bouche grande ouverte.

« Tu serviras ainsi ce soir, la chaîne qui relie tes tétons servira à te guider. Si tu réagis bien à cette sollicitation tes tétons seront en partis épargnés sinon nous seront obligées de tirer plus fort.... »

Elle m'aida à me mettre debout, je sentis la chaîne se tendre et poussais un cri étouffé par le bâillon quand les pinces vinrent tirer cruellement mes tétons. En équilibre sur mes chaussures à talons je suivis ma maîtresse. Le chemin m'était familier, elle m'arrêta dans l'entrée juste au moment ou la sonnette retentit..........

Ma maîtresse me laissa pour aller ouvrir. J'entendis une voix féminine inconnue saluer avec chaleur la femme que je sers. Elles s'approchèrent de moi,

« Davina je te présente Agnès, tu lui obéiras docilement ainsi qu'à toutes mes amies qui seront là ce soir. Agnès je te présente Davina, elle est là pour nous servir....

-Parfait, j'espère que tu te montreras à la hauteur Davina. Je peux l'emmener au salon avec moi ?

-Oui bien sur, mais tu la laisses attachée comme ça pour l'instant. Soit gentille, guide-la avec la chaîne.

-Suis-moi »

Je sentis la chaîne se tendre et j'avançais de mon mieux pour que mes tétons soient épargnés. Comme nous nous dirigions vers le salon, j'entendis la sonnette retentir. Quelques secondes plus tard Agnès m'arrêta.

« Mets-toi à genoux. Ce que je fis immédiatement redoutant que ce soit la chaîne qui m'y oblige. Laisse-moi t'inspecter. »

Je la sentis tourner autour de moi puis sa main repoussa au fond de ma gorge le bâillon déjà bien enfoncé. Elle souleva ma jupe par derrière, me poussa sur la nuque jusqu'à ce que ma tête touche le sol. J'étais ainsi offerte la croupe tendue. Elle fit claquer les jarretelles, me caressa les fesses avant de m'assener une claque sèche et brûlante. Elle écarta mon string et mes deux lobes pour jouer avec ma rosette d'un doigt que je sentis prolongé d'un ongle menacent. Ma maîtresse entra, Agnès rabattit ma jupe sur mes fesses et voulu me relever.

  • Non laisse là ainsi, elle est très bien comme ça pour les présentations. Marie, Armelle je vous présente Davina ma soubrette. Elle est à votre disposition pour la soirée et devra vous obéir. Davina tu auras de l'aide ce soir, Marie est venue avec Muriel, sa soubrette. Muriel, détache les mains de Davina, guide jusqu'au canapé et mets lui un plateau dans les mains.

  • Bien madame.

La voix tremblante de Muriel était celle d'une jeune fille timide. Elle me détacha et me conduit à deux pas de là par la main. Je me mis à genoux De moi-même et elle m'aida à prendre un des plateaux que j'avais préparés. Je le présentais devant moi au niveau de ma poitrine. Les quatre femmes vinrent prendre place sur le canapé et entamèrent une discussion de salon pendant que Muriel leur servit à boire. Pendant un certain temps, ce fut comme si je n'existais pas, à part les deux fois ou l'on demanda à Muriel de changer mon plateau personne ne m'adressa la parole ni ne fit allusion à moi. Mes genoux et mes chevilles étaient engourdis par la pose. Je tentais de me faire une opinion à l'aveugle sur chacune des invitées.

J'imaginais qu'Agnès avait la quarantaine, dynamique, sans doute connaissait-elle très bien ma maîtresse. Marie me paraissait être la plus âgée, plus de soixante ans mais alerte et soignée. Elle vivait à Versailles et Muriel semblait être sa soubrette à demeure. Armelle était plus jeune, entre vingt et trente ans, elle parlait peu, je pense que la situation était nouvelle pour elle. C'est Marie qui l'avait faite inviter. Je crus comprendre qu'elle était sa filleule.

  • Je vous propose un petit jeu avant de prendre le café, annonça ma maîtresse. Davina connaît bien l'odeur et même le goût de mes culottes. Nous allons voir si elle est capable de reconnaître ma culotte juste en la sentant. Mesdames pouvez-vous retirer vos dessous et les confier à Muriel ? Muriel aussi cela augmentera la difficulté. Bien, maintenant Muriel va faire sentir successivement les cinq culottes à Davina qui nous indiquera ensuite avec ses doigts en quelle position se situait la mienne. Si elle se trompe, elle nous servira de repose pieds pendant que nous prendrons le café.

J'humais la première étoffe que Muriel me colla sur le nez. Ce n'était pas celle de ma maîtresse, elle sentait le parfum. La deuxième n'était pas la bonne non plus, l'odeur était forte sa propriétaire devait être déjà très excitée mais le bouquet ne m'était pas familier. La troisième me paru être la bonne. La quatrième sentait la lessive et l'adoucissant mais pas ceux que j'utilise pour soigner les dessous de la femme que je sers. Je pensais donc avoir trouvé quand Muriel me fit sentir la dernière culotte. Celle-ci aussi pouvait la bonne.

  • Alors Davina, quelle était ma culotte ?

Après une courte hésitation je montrais trois doigts. « Perdu !!! Crièrent en coeur Marie et Agnès.

-Tu n'es même pas capable de me reconnaître !!! Tiens, comme ça tu vas t'imprégner de mon parfum !

Je sentis une paire de main me saisir la tête et m'enfiler une culotte qui me recouvrit le nez. J'avais honte, à la fois de ce masque que je devinais ridicule et d'avoir déçu ma maîtresse. On me fit allonger sur le dos et je sentis tout le long de mon corps les talons s'enfoncer plus ou moins dans mes chaires. Après le café on demanda à Muriel de mettre de la musique, de se donner en spectacle en dansant, puis en se caressant. Je restais étendu sur le sol et les pieds me t o r t u r ai e n t le corps au rythme de la musique ou des gémissements de l'autre soubrette.

  • Au tour de Davina d'assurer le spectacle ! Déclara ma maîtresse.

Je sentis au même instant mes tétons étirés et modus par les pinces. Heureusement les pieds quittèrent mon corps pour que je puisse suivre tant bien que mal le mouvement. Après quelques pas on me retira mon string, puis à l'aide de la chaîne on me fit mettre à genoux la tête sur la moquette les jambes écartées et la croupe offerte.

  • Ca fait longtemps que je prépare ma soubrette pour cet évènement. Ce soir, devant vous, Davina va en quelque sorte perdre son pucelage. Je vais la fister. Mais comme pour une corrida je vais laisser une novice la préparer. Armelle, toi qui n'as jamais sodomisé personne, commence à la dilater avec ce plug. Tu enduis et le plug et la rosette avec cette crème ; Voilà, tu écartes bien les fesses, tu poses le bout, oui, et tu pousses doucement !

Je sentis mon anus s'ouvrir sous la pression du plug, la sensation était assez agréable mais je savais que la suite serait beaucoup plus douloureuse.

  • Voilà, maintenant tu fais des petits vas et viens et quand tu sens que ça passe, tu pousses plus fort pour l'introduire jusqu'au bout.

Je fus bientôt investi par l'objet.

  • C'est bien ! Je t'ai senti un peu hésitante mais c'est normal. Tu vois ça passe très bien, et en plus elle aime ça cette petite salope. Bon, à moi de jouer maintenant. Agnès peux-tu prendre le caméscope pour immortaliser ce moment s'il te plait ?

  • Oui avec plaisir. »

J'entendis ma maîtresse enfiler un gant d'auscultation en latex. Quelqu'un augmenta le volume de la musique qui me parue h y p n o t i s a n t e, mon bâillon m'engourdissait toute la bouche. Je sentis le plug sortir en dilatant de nouveau mon vagin masculin. Une rivière de gel lubrifiant coula entre mes fesses. J'étais tétanisé par la peur et la honte d'être ainsi donner en spectacle devant des femmes que je n'avais même pas encore vues. Pourtant je savais que je devais me détendre le plus possible pour accepter la main entière de ma maîtresse en moi et ainsi lui prouver ma docilité et mon amour. Ses doigts se frayèrent un passage entre mes fesses. Je soupirais sous mon bâillon. Elle me dilatait doucement, en douceur, en me caressant la croupe et le dos. Je me laissais envahir, fermant les yeux sous le bandeau pour mieux me concentrer sur mon sphincter dilaté.

Parfois elle poussait un peu plus loin puis me libérait pour mieux m'emplir de gel et revenir à la charge. Personne ne parlait, la musique couvrait tous les bruits. Je sentis les doigts loin au fond de moi me caresser tendrement les muqueuses rectales. La tête me tournait, je ne sentais pas la douleur mais juste la résistance de mes muscles dilatés. Il me semblait que mon bassin allait exploser sous la pression.

  • Détends-toi, on va y aller maintenant ! Dit doucement ma maîtresse.

Je me sentis comme un condamné à mort, c'était inéluctable, elle allait entrer, je sentis les larmes emplir mes yeux, j'étais résigné, pourvu que ça aille vite... D'une poussée lente mais ferme les cinq doigts suivis de la main et du poignet s'engouffrèrent en moi. Je criais pour chasser la douleur et la peur, mais personne ne du s'en rendre compte. Tout était calme autour, l'ambiance me parue presque religieuse. Mon coeur battait la chamade. J'étais en sueur.

Nous restâmes ainsi un long moment. Puis ma maîtresse reprit la parole.

  • Maintenant je veux que vous preniez chacune votre tour ma place. Je l'ai déflorée mais elle doit savoir s'offrir entièrement à qui je veux. Quand elle est en soubrette elle m'appartient comme une poupée que je peux prêter quand cela me chante et sans son avis !

Sa main se retira doucement m'arrachant un gémissement au passage mais j'étais déjà sans force et totalement vaincue. Rapidement on injecta du gel dans le trou béant et une autre main plus fine pris sa place. Les quatre femmes me prirent comme prévu sans que je n'oppose aucune résistance même si mon corps entier refusait ces intromissions.

Cassé, les jambes flageolantes on me remit debout. Ma maîtresse demanda à Muriel de me conduire à la salle de bain de m'aider à me laver et de me coucher pour que je me repose.

Avec beaucoup de douceur ma consoeur s'exécuta. Une fois dans la salle de bain elle me retira les pinces me déshabilla, retira mes bracelets et mon collier ainsi que le bandeau et le bâillon comme il lui avait été recommandé. Elle était belle, rousse aux yeux verts, grande, mince et pale. Elle me sourit et sans dire un mot me doucha. Elle m'aida à remettre mes bas, mes chaussures et me fit mettre une robe propre en vinyle noir bordée de dentelle blanche.

Elle s'excusa à voix basse de devoir me remettre le foulard sur les yeux et le bâillon. Avant qu'elle n'emplisse à nouveau ma bouche je murmurais un : « Merci », mon premier mot depuis des heures. Je sentis ses lèvres chaudes embrasser les miennes puis, l'étoffe que je savais maintenant être une culotte réinvestir ma bouche. Une fois dans la chambre je me pelotonnais sur le lit et m'endormis.

Ma maîtresse vint me réveiller.

  • Je suis fière de toi, mais la soirée n'est pas terminée. Lève-toi.

Elle me prit par la main et m'entraîna au salon. Elle me fit asseoir sur une chaise.

  • L'épreuve suivante va opposer nos deux soubrettes. Le jeu durera au maximum vingt minutes. Muriel devra faire jouir Davina le plus rapidement possible en utilisant ses mains et sa bouche. Davina tu devras résister le plus longtemps possible. Il y a bien sur un enjeu. Il sera de toute façon délivré et sans doute partagé. Vingt coups de martinets seront donnés à la fin de l'épreuve. Muriel recevra autant de coups que de minutes avant d'avoir fait jouir Davina et Davina le complément jusqu'à vingt. Muriel mets-toi en place entre les jambes de Davina. Prêtes? Top chrono!

Quand les mains caressantes de la soubrette soulevèrent mes froufrous, je bandais déjà. Les lèvres qu'elle m'avait offertes après la douche entourèrent mon gland et l'humidifièrent aidées par une langue douce et chaude. Je me laissais aller à soupirer de plaisir. Aidée de ses mains, la bouche de Muriel m'emmenait inexorablement vers le plaisir.

  • Retiens-toi ou ton cul brûlera, dit en rigolant ma maîtresse.

  • Fais le cracher ou tu ne pourras plus t'asseoir, encouragea Marie. »

Mais ces voix étaient lointaines, je ne pouvais lutter. Bientôt je sentis mon entrejambes se cabrer. Je retardais le moment fatidique encore quelques secondes, moins à cause du martinet que pour prolonger le plaisir de cette douce caresse. Puis, Criant de plaisir sous mon bâillon, la tête rejetée en arrière, je libérais ma semence dans la bouche de Muriel qui l'avala.

  • Six minutes, proclama Armelle qui devait tenir le chronomètre.

  • Décidément tu ne sais pas te retenir ! Tans pis pour toi, le spectacle trop court te vaudra quatorze coups de martinet.

  • Puis-je commencer avec Muriel ? Demanda Marie.

  • Bien sur, moi je laisserai Agnès infliger son châtiment à Davina. »

La tête de Muriel reposait encore entre mes jambes et elle m'embrassait avec douceur et ferveur.

  • Lève tes fesses petite suceuse.

Je sentis la soubrette présenter sa croupe. Sa tête, par un mouvement de bascule, prit appuie sur le haut de mes cuisses. Elle tremblait, je crus sentir ne larme couler sur ma peau.

« Un! » Cria-t-elle quand les lanières mordirent ses fesses

Il y eut une pose. Puis les deux et troisièmes coups retentirent très rapprochés, ponctués du compte de la suppliciée. Je sentais ses mains crispées sur mes jambes. Une nouvelle pose, plus longue. «Quatre dans un sanglot. » Encore une pause. Elle reniflait sur mon bas-ventre.

«Cinq » dans un gémissement. « Et six ! » Acheva Marie en faisant claquer le martinet comme jamais.

Muriel tomba à genoux en pleurant et en gémissant sans retenue. On la releva et l'emmena.

  • A ton tour Davina.

Agnès, exécute la sanction sans ménagement. Elle prendra la même position que Muriel mais devant le canapé la tête entre mes cuisses. Je me laissais positionner comme ma maîtresse l'avait demandé. Je caressais sa culotte avec mon nez en attendant le premier coup. On releva mes jupons sur mon dos offrant ainsi à Agnès mes lobes encadrés par les jarretelles.

Ce fut comme une brûlure, la douleur était diffuse mais bien présente. Je n'eux pas le temps de reprendre mon souffle, les lanières me mordaient à nouveau ; trois, quatre fois de suite. Comme ma consoeur, j'étais en larmes. Je verrouillais les hanches et les genoux pour empêcher mes jambes flageolantes de céder. Les coups se succédaient de manière aléatoire sans que je pus me préparer à aucun d'entre eux. Ma maîtresse me maintenait la tête en me caressant. Après le dernier coup, elle me redressa et m'embrassa sur le front. Je tremblais, mes fesses étaient en feu, ma bouche était douloureuse et sèche. Comme si elle avait deviné ma soif, ma maîtresse défit le bâillon.

  • Tu dois avoir soif ; non ?

Je hochais la tête.

  • Nous allons terminer la soirée par une épreuve qui te désaltérera. Muriel aussi d'ailleurs. Vous allez toutes deux mettre ses deux culottes blanches et vous placer debout face à nous sur le drap en vinyle. Chacune à votre tour vous boirez un verre d'eau. Armelle vous les servira. Le jeu s'arrêtera quand l'une d'entre vous ne pourra plus maîtriser sa vessie.

Armelle m'entraîna sur le drap de protection et me fit enfiler une grande culotte en coton. Les premiers verres furent en enchantement, mais petit à petit je gonflais. Bientôt je sentis une pression de plus en plus forte sur ma vessie. Muriel devait aussi être proche de craquer. Je la sentais tendue tout prêt de moi. Les verres se succédaient. J'étais comme une baudruche distendue. Je ne voulais pas lâcher mon urine ainsi devant ses femmes qui avaient pourtant exploré toute mon intimité. Mais la fatigue et le volume d'eau eurent raison de moi. Cela commença par quelques gouttes que je crus pouvoir bloquer. Mais quand je dus bouger pour boire le verre suivant, je perdis tout contrôle et sentis un liquide chaud envahir ma culotte puis couler le long de mes cuisses. La tête baissée je ne maîtrisais plus rien, laissant le soulagement de ma vessie apaiser la honte de la situation.

  • Bien nous allons y aller maintenant dit Marie. Merci pour cette formidable soirée.

  • Tu ne veux pas emmener Muriel aux toilettes avant de partir ?

  • Non elle va encore se retenir jusque dehors, elle fera dans la rue.

Des bises furent échangées, je restais debout, les jambes légèrement écartées, trempée de moi-même. Quand tout le monde fut parti, ma maîtresse retira mon bandeau et me dit d'aller me doucher. Elle me conduit ensuite nu dans la chambre, plaça une alaise absorbante sur le lit. Elle me fit coucher sur le dos, attacha mes mains aux barreaux du lit. Elle retira sa culotte m'embrassa longuement et chaleureusement avec la langue puis me fourra son dessous roulé dans la bouche.

  • Bonne nuit...

Elle sortit en éteignant la lumière. Je tournais la tête pour apercevoir le réveil digital. Il était trois heures du matin ; Je m'endormis....

Davina

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